La policière dissimulait de la cocaïne dans son vagin

Shelian Cherine Allen, 42 ans, a été arrêtée aux Etats-Unis le 3 février dernier. Les douaniers de Floride l’ont interceptée avec plusieurs grammes de cocaïne. Son procès s’est ouvert cette semaine, la jamaïcaine a plaidé coupable. Elle risque 40 ans de prison.

La mule était bien trop chargée à l’aéroport international de Fort Lauderdale-Hollywood. Les contrôleurs n’ont eu aucun mal à la repérer. Shelian Cherine Allen est pourtant des leurs. La prévenue est une policière jamaïcaine. Elle arrivait en Floride en provenance de Montego Bay en Jamaïque.

Une inspection par les douanes et la protection des frontières des États-Unis (CBP) a révélé qu’elle avait un paquet de cocaïne dans son vagin et un paquet de cocaïne dans chacun de ses bonnets de soutien-gorge. De plus, Shelian Cherine Allen avait 90 boulettes de cocaïne emballées dans son estomac, qu’elle avait avalées.

Conduite à l’hôpital, la caribéenne a pu expulser les 90 boulettes. Au total, Elle avait plus de 1 000 grammes de cocaïne sur ou à l’intérieur de son corps. Soit environ 200 g dans son vagin, environ 143 g dans son soutien-gorge et environ 690 g dans son estomac, a révélé le ministère de la Justice.

Shelian Cherine Allen reviendra le 15 juin devant le tribunal fédéral de Fort Lauderdale. A cette date, elle connaitra sa peine.

Dorothée Audibert-Champenois – Facebook Blacknews Page. Illustrations : Saint Vincent

Une mauricienne entre la vie et la mort, ses proches en garde à vue

La violence faite aux femmes se multiplie mais elle se déploie trop souvent à l’intérieur de la cellule familiale. Dans la nuit de mardi à mercredi, une femme de 45 ans a été violemment frappé par l’un de ses jumeaux. La mauricienne est dans le coma, son pronostic vital est engagé, son mari et ses fils en garde à vue.

Plusieurs journaux nationaux rapportent cette agression d’une rare violence. Mais c’est le Parisien qui révèle que les sapeurs-pompiers sont intervenus dans un appartement du Xème arrondissement aux environs de 13h05 ce mercredi 23 février. A l’appel d’un de ses jumeaux, les secours ont retrouvé une mère de famille inconsciente à la rue du Château-Landon. Immédiatement intubée, la victime, prénommée Anita présentait un hématome orbitaire grave, des bleus sur les avant-bras et des traces d’emprise sur les poignets. Son pronostic vital est engagé annonce le journal qui précise que les médecins ont diagnostiqué une hémorragie cérébrale.

Soupçonnés d’être à l’origine de l’agression, le conjoint de la victime, gardien de l’immeuble, les deux fils de la quadragénaire ont été placés en garde à vue.

Une enquête confiée à la direction de la police judiciaire est ouverte pour tentative d’homicide involontaire.

 

Dorothée Audibert-Champenois – Facebook @Blacknews Page – Image Blacknews Page

 

Maëlys a eu une fin atroce. Une pétition en soutien à sa famille

Enfin, ce vendredi 11 février 2022 au Tribunal de Grenoble, l’avocat de Nordal Lelandais a permis de percer un peu la vérité sur les derniers instants de Maïlys De Araujo. La fillette de 8 ans, enlevée en pleine fête de mariage, le 27 août 2017 à Pont-de-Beauvoisin et morte sous les coups répétés de Lelandais a ému la France entière. L’homme qui comparait depuis le 31 janvier 2022 à la Cour d’Assises de Grenoble est aussi un récidiviste. Cet ancien militaire condamné en mai à Chambéry à 20 ans de réclusion criminelle pour le meurtre du caporal Arthur Noyer a admis ce vendredi, avoir frappé volontairement la fillette de 8 ans pour lui donner la mort. Une confession qu’il a faite à son avocat Me Alain Jakibowicz au soir de la dixième journée de procès.

En accord avec la famille de l’enfant une pétition est ouverte pour soutenir les parents de Maëlys, restés dignes durant depuis le début de l’éprouvant procès. A l’instar de nombreux français touchés et meurtris par la violence et l’horreur du crime, une internaute proche de la tante de Maëlys a créé un groupe et lancé cette pétition. Son objectif est de dire aux autorités judiciaires, l’immense émotion que les actes du récidiviste suscitent dans l’opinion. La créatrice du groupe FORCE ET HONNEUR POUR MAËLYS à l’initiative de Marie-Laure attend également un maximum de partages et de signatures.

« Notre justice est de punir. Notre justice doit arrêter d’être laxiste. La justice doit mettre perpétuité à cet homme. Une perpétuité en France c’est 30 ans. Mais pour les parents de Maëlys et sa sœur Colleen, ils ont pris perpétuité à vie. Une famille détruite ».

Maëlys De Araujo

POUR UNE VÉRITABLE JUSTICE POUR MAËLYS ET SA FAMILLE ! ( La pétition ici )

Les internautes n’ont pas de mots assez forts pour désigner Lelandais. Tous estiment sur les réseaux sociaux que cet homme aux deux visages mérite la perpétuité. Soupçonné fortement d’avoir violé l’enfant de 8 ans et de l’avoir enlevé  à l’autorité de ses parents, il a enfin reconnu l’avoir assassinée. Pour autant, toute sa défense reste une litanie de non-dits et de secrets. Le dresseur de canins qui a réponse à tout et dissimule aux détails près les preuves de ses crimes, ne peut expliquer ses « mensonges, ses penchants pédophiles, son homosexualité non assumé, les enlèvements, les agressions violentes sur ses compagnes ». Durant deux semaines devant la Cour, Lelandais se dit sous l’emprise de stupéfiants qui expliqueraient ses crimes et ses pulsions.

La première semaine du procès, tant attendu par Jennifer et Joachim De Araujo a été un enfer pour une famille autrefois soudée mais aujourd’hui brisée physiquement et émotionnellement. Les réponses de Lelandais sont souvent assourdissantes. Comme ce vendredi 11 février. Pour Me Fabien Rajon, l’avocat de Jennifer Cleyel-Marel ( De Araujo), l’accusé «adresse un crachat au visage de la famille de Maëlys. Quand il dit que Maëlys a insisté pour entrer dans le véhicule, quand il dit qu’elle a ouvert la porte de l’Audi A3 pour monter dans sa voiture. ». C’est à ce moment quela fillette disparait et pour lequel Lelandais multiplie les versions jusqu’à ses révélations le lundi 14 février 2018. Soit 6 mois après les faits. Une délivrance. Pas vraiment, le choc et la sidération. Il ne reste de l’enfant que peu d’éléments pour des recherches plus poussées. On sait que sa robe a été déchirée du haut vers le bas, que des mèches de cheveux ont été coupées à l’aide d’un objet tranchant, qu’une partie de son sous-vêtement a disparu et qu’elle a reçu plusieurs coups mortels au visage. A-t-elle été agressée sexuellement ? Est-ce le motif de son enlèvement ? Lelandais s’enferme dans des oublis calculés.

Portrait de Maëlys

Selon le légiste, Maëlys a agonisé (seule et où?) probablement entre 30 minutes et 1 heure après les violents coups reçus de Lelandais. Ce dernier précise avoir pris son pouls et remarqué qu’il ne battait plus. Il s’est trompé, rectifie l’expert. La mort de Maëlys n’a pas été instantané et elle en a souffert. « On est sur des fractures périmortem, pas sur des fractures post mortem. L’hypothèse d’un décès hémorragique ou d’obstruction des voies aériennes paraît peu probable, peu compatible avec sa version. L’hypothèse d’un décès par traumatisme neurologique est possible puis qu’il constate le décès après un intervalle de temp » Pour la présidente de la Cour d’Assises : « Il y a aussi l’hypothèse qu’il n’ait pas pris le pouls puisqu’il n’en n’avait pas parlé dans sa première version ».

Joachim De Araujo, Maëlys et Jennifer Cleyel-Marel (De Araujo)

La Cour d’Assises de Grenoble a détaillé le jeudi 3 février les derniers instants de Maïlys retranscrits par Valentin Pasquier pour le Parisien.

Les derniers instants de Maëlys De Araujo

…Dans la salle des assises de l’Isère à Grenoble, où l’on juge ce crime qui avait bouleversé la France, s’affichent bientôt les images du parcours, filmé pour les besoins de l’enquête, au milieu des herbes folles et des sapins. On suit la caméra sur plusieurs dizaines de mètres, en contrebas, quand apparaît un ensemble rocheux formé d’un monolithe, surmontant une cavité ceinturée de pierres. C’est là, dans ce trou d’une profondeur de 30 cm que le squelette recroquevillé de la petite fille sera exhumé, caché sous un bloc de 14 kg. Le tombeau de Maëlys…

Le « monsieur aux chiens »

Un angoissant compte à rebours qui démarre à minuit vingt ce 27 août 2017, lorsque l’accusé, qui s’est invité à la dernière minute, revient pour la soirée dansante du mariage. Une demi-heure plus tard, il est aperçu sur la scène, en train de chanter. Dans la foulée, il part consommer de la cocaïne avec deux amis dans les toilettes de la salle polyvalente. Le dessert s’apprête à être servi, retrace le gendarme Tissier, « quand Maëlys parle à sa mère du monsieur aux chiens ». La jeune femme accompagne alors sa fille jusqu’à la table des mariés, où Nordahl Lelandais leur montre des photos de ses bêtes sur son téléphone portable et échange même quelques mots avec la mère de l’enfant.

« À 1h40, des témoins aperçoivent Maëlys dans la partie enfants de la salle, en train de chahuter un homme qu’elle appelle tonton, bien qu’il ne fasse pas partie de la famille », poursuit le militaire. Vers 2h00, nouvelle interaction, cette fois sur le parking. Un invité les aperçoit repartant vers la salle, de façon séparée, Nordahl Lelandais indiquant à la fillette d’emprunter l’entrée principale, quand lui-même rentre par une porte de service…

La petite est de nouveau aperçue dehors à partir de 2h26. C’est l’été, il fait bon, et pour elle aussi, c’est la fête. Maëlys gambade sur le parking, pieds nus, insouciante. Elle joue au ballon avec des « grands », puis avec les autres enfants. On l’imagine alors dans sa robe blanche, celle des grandes occasions, quelques mèches rebelles s’échappant de ses jolies tresses brunes, ivre de cette joie et de cette liberté d’un soir, alors que dans quelques jours, elle reprendra le chemin des classes.

Quelques minutes plus tard, elle échange quelques passes avec une invitée, va rechercher le ballon sous l’escalier de la porte de service. L’Audi A3 de Nordahl Lelandais y est déjà stationnée en marche arrière, prête à partir. À 2h39, il semble attendre derrière le volant, penché sur son téléphone portable, un halo bleuté illuminant son visage. Les grands-parents de Maëlys quittent à leur tour la fête : la petite est censée dormir chez eux, mais réclame de rester. Face à son insistance, ils l’embrassent et la laissent s’amuser encore un peu. La fillette est alors revenue dans la salle des adultes, à quelques mètres de ses parents. À 2h45, un dernier couple dit au revoir à Maëlys, aperçue ensuite en train de remettre ses chaussures.

Une berline grise dans la nuit

La soirée bat son plein, le DJ enchaîne les titres : « Sapé comme jamais », de Maître Gims, puis, « à 2 heures 46 minutes, 53 secondes », « Cotton Eye Joe », un vieux tube des années 1990 que Maëlys n’aurait raté pour rien au monde… Mais la petite n’est pas sur la piste de danse. Jennifer, sa maman, comprend immédiatement. Il s’est passé moins de six minutes entre l’adieu à ses grands-parents et la disparition.

La suite, c’est une litanie de mouvements suspects sur le téléphone de Nordahl Lelandais, qui démontrent une volonté farouche de dissimuler ses actions, afin que l’on ne puisse jamais tracer ses mouvements. À 2h46 et 12 secondes, alors qu’il s’apprête à quitter la salle des fêtes avec la petite à son bord, il déconnecte ainsi son appareil en activant le « mode avion ». À 2h48, sa voiture, reconnaissable entre autres à ses phares bleutés, apparaît pour la première fois sur les caméras de vidéosurveillances de Pont-de-Beauvoisin — il fera en tout sept voyages dans la nuit.

L’image est à son tour projetée, décortiquée, disséquée sous tous les angles. La cour d’assises se raidit en voyant la berline grise roulant dans la nuit, dévoilant côté passager une petite forme vêtue de blanc, plaquée contre la portière, et un visage qu’on distingue à grand-peine mais qu’on imagine terrorisé. La dernière image de Maëlys, dont la famille doit alors quitter la salle, en pleurs… Impassible dans son box, l’accusé, qui avait même contesté cela, se lève à la demande de la présidente. « Monsieur Lelandais, c’est bien vous dans cette voiture ? » Il hoche la tête. « Et cette forme blanche, c’est bien Maëlys ? » « Oui madame ». (Le Parisien)

Caméra de surveillance

Le monstre aux deux visages

Les appels et supplications de ses amis proches, ses copains, ses lointaines connaissances n’ont pas attendri l’accusé. La grande sœur de Maëlys, Collen De Araujo s’est adressée à l’homme dans le box avec fermeté et détermination pour savoir comment est morte sa petite sœur. Jennifer De Araujo a marqué la présence de sa fille avec un portrait géant de l’enfant au Tribunal pour que Lelandais affronte son innocent regard. Ses anciennes et nombreuses copines n’ont pas manqué de témoigner sur l’homme accusé du pire. Menteur, manipulateur et dissimulateur, il livre ce qu’il veut et accroît le chagrin de parents qui attendent toute la vérité pour faire leur deuil.

Colleen De Arajo, la grande soeur de Maëlys

Acculé par Me Caroline Rémond, Lelandais a reconnu ses penchants pédophiles quand il répond à  l’avocat des petites cousines agressées (4 et 6 ans à l’époque ) dans leur sommeil. Des clichés de fillettes du même type méditerranéen, comme Maëlys, sont retrouvés dans l’un de ses téléphones. L’autre est brisé et jeté dans le lac du Bourget après une garde à vue. Après la journée d’échanges entre l’ex-procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat qui a déposé en tant que témoin sans cacher son animosité envers le tueur de Maëlys, le prévenu a enfin avoué avoir tué l’enfant de 8 ans, sans reconnaître l’avoir violée.

Les débats reprendront ce lundi 14 février 2022 dès 9heures. Cette troisième semaine sera consacrée aux auditions des psychiatres. L’occasion, espère-t-on « d’en apprendre plus sur la personnalité » du meurtrier de la petite Maëlys de Araujo.

Dorothée Audibert-Champenois – Facebook Blacknews Page – Data Journaliste – Images screenshots et Facebook La Pétition :

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Un guadeloupéen écroué pour tentative de féminicide

La victime, une femme d’origine brésilienne, a frôlé la mort. Son conjoint est un multirécidiviste. L’homme est connu par la justice pour des violences conjugales répétées. Au moment de l’agression, l’enfant du couple se trouvait au domicile. Il a été pris en charge psychologiquement. La mère hospitalisée en urgence absolue, ne serait plus en danger. Aujourd’hui, le récidiviste dort en prison.

C’est à Libourne, une commune du Sud-ouest de la France que se déroule ce nouveau drame conjugal. Le suspect, un récidiviste âgé de 33 ans, a été mis en examen pour tentative d’homicide volontaire aggravé. Il est en détention provisoire. Selon le magazine Paris-Match, l’agresseur est un antillais, originaire de l’île de la Guadeloupe, aux Antilles.

L’homme un récidiviste, doublement condamné pour violences conjugales

Nous sommes, Jeudi 27 janvier, quand les forces de l’ordre découvre la victime baignant dans son sang. La quadragénaire git  dans une mare avec « de graves blessures à l’arme blanche au thorax. » A l’arrivée des secours, un homme est en train de lui faire « un point de compression au niveau de la poitrine ». La victime est dans un état préoccupant. Alors que la femme et l’enfant sont immédiatement pris en charge, l’individu est interpellé.

Depuis, le parquet de Libourne indique que « sa vie est désormais hors de danger et son pronostic vital n’est plus engagé ».

L’individu interpellé sur place a déjà « été condamné à deux reprises pour des violences conjugales ». Sa première condamnation date de 2017. En 2020, Le Tribunal de Libourne lui infligeait une peine de 8 mois d’emprisonnement dont 4 mois avec sursis probatoire. Une peine qui l’interdisait de rentrer en contact avec sa compagne. Pourtant, le récidiviste « aurait repris la vie commune depuis plusieurs semaines » avec son ex-compagne, avance la presse locale.

Le guadeloupéen dort en prison

Gardé à vue pendant 48 heures, ce samedi 29 janvier, il a été mis en examen, pour tentative d’homicide volontaire et incarcéré.

Dorothée Audibert-Champenois – Facebook Blacknews page – Image Georgia State University News

Noëla, 11 ans se suicide, elle «pleurait dans les couloirs» du collège

Valeicle et Paul sont ravagés. Le couple camerounais souffre de la disparition de leur fille Noëla. La petite était en classe de 6ème au Collège Henri-Matisse dans le 20ème arrondissement. Jeudi 13 janvier, elle s’est pendue dans sa chambre. Les secours n’ont pas pu la ranimer. La famille de la fillette réclame « justice ».

Sa petite sœur la découvre pendue avec sa ceinture de judo

La tragédie est révélée par le quotidien Le Parisien ce lundi 17 janvier. Une enquête pour « recherche des causes de la mort » est ouverte et confiée au commissariat du XXème arrondissement. La situation de la défunte sera au centre des investigations. Selon Paul, son beau-père « Elle se sentait détestée dans cet établissement. Elle n’appréciait que l’infirmière. » Si la collégienne « avait du caractère », rapporte le quotidien, elle était assidue au collège. « Elle travaillait trop vite et s’ennuyait en classe. Du coup, ça se passait mal au collège. Elle n’insultait personne, mais elle répondait aux professeurs. Si elle n’aimait pas, elle n’hésitait pas à le dire » affirme son beau-père.

Image fcpe et famille de Noëla/Le Parisien

Noëla avait du « caractère »

Il y a quelques jours, la fillette et sa mère étaient convoquées par le principal du collège. Le 10 janvier, elles s’y rendent à 17h40. Noëla doit s’expliquer pour avoir menacé son professeur d’histoire et de géographie. Une accusation que conteste l’enfant qui se défend, jurant à sa mère « qu’elle n’avait rien fait ». Mais les paroles du principal sont blessantes pour la jeune fille. Selon Valeicle, sa mère qui se dit choquée du « ton employé qui aurait heurté sa fille »« Sa place n’est pas à l’école, mais dans un centre psychiatrique spécialisé » est la réponse du principal au mal-être de la fillette. Conclusion, Noëla devait passer en conseil de discipline le 24 janvier prochain. En attendant, « elle devait rester à la maison ». Noëla est persuadée qu’elle sera une nouvelle fois exclue du collège.

Deux fois expulsée de son collège

Un crève-coeur pour la famille de l’enfant : « Depuis septembre, elle a été renvoyée deux fois » Après sa mort, les langues se délient et Valeicle apprend que sa fille « pleurait souvent dans les couloirs ». « Le collège l’a poussé au suicide. Je me battrai jusqu’au bout pour le faire reconnaître » assure la maman.

Deux cellules d’écoute et de soutien psychologique ont été mis en place dès le lendemain de la mort de Noëla. Une minute de silence a été observée par l’ensemble du collège. Une marche blanche est prévue le mercredi 19 janvier devant l’établissement.

Source Le Parisien  Dorothée Audibert-Champenois – Images Le parisien (Famille de Noëla)

 

 

 

14 tonnes de pierres précieuses exploitées illégalement au Mozambique

Le ministère des ressources minérales du Mozambique, à mis au grand jour un important réseau de contrebande. Il rapporte que depuis le mois de janvier des exportations illégales de pierres précieuses s’effectuent au départ du pays. 14 tonnes d’or, de rubis et d’autres pierres précieuses ont été pillés. Dans une interview sur Radio Mozambique, Fernando Maquene, un haut responsable au ministère s’est insurgé. Il dénonce le pillage des pierres précieuses de son pays.

L’organisation non gouvernementale Global Initiative against Transnational Crime (GI-TOC) a enquêté. Selon le rapport, l’extraction de pierres précieuses et leurs ventes sur des marchés illicites est un moyen de survie pour des déplacés. Des opération de contrebande organisées souvent grâce à la complicité de fonctionnaires corrompus. Ce rapport remis publié début novembre montre où se situe l’essentiel de ces exploitations. Le commerce illégal de pierres précieuses se concentre dans le Nord du Mozambique. L’endroit même où une insurrection islamiste a contraint plus de 800 000 personnes à fuir.

Le site de Montepuez (rubis) – Images Le Point

Les pierres précieuses du Nord du Mozambique

Quant aux mines de pierres précieuses, la plus touchée est dans la province de Cabo Delgado. La mine de rubis de Montepuez fournit plus de la moitié du marché mondial de rubis neufs. Depuis 2011, elle a fourni plus de 527 millions d’euros de rubis.

Montepuez est une petite ville située à plus de 1.500 km au nord de la capitale Maputo. Le destin de cette ville a changé en 2009. Formés il y a 500 millions d’années, les petits cailloux rouges gisaient dans le lit des rivières. Il a fallu attendre que l’une de ces minuscules pierres soit découverte par un coupeur de bois. Identifiés, il y a treize ans, les rubis ont permis au Mozambique de figurer sur la carte mondiale du commerce des pierres précieuses.

Gisements exceptionnels

L’or, les rubis, la tentalite sont exportés par les réseaux de contrebande. Fernando Maquene a manifesté sa colère dans les médias. Il espère trouver des moyens pour lutter contre l’expansion des réseaux incriminés qui pillent les ressources du pays. Ces ressources devraient en priorité « générer des revenus pour développer les communautés locales » a-t-il déclaré.

Rafael Sebastiano, le juge de la Cour Suprême, a de son côté assuré poursuivre les responsables de ces réseaux d’exploitation et de ventes illégales.

Dorothée Audibert-Champenois. Facebook Blacknews Page – Image

 

Elle exécute son amie devant des témoins horrifiés

Une femme de 42 ans a été arrêtée lundi par les forces de l’ordre de Floride à Jacksonville. Elle était recherchée pour le meurtre en août dernier de Delia Johnson. La mère célibataire également âgée de 42 ans a été abattue à Crown Heights dans Brooklyn. Une vidéo montre l’exécution de Delia Johnson. Elle discutait avec des amis vers 21h40 le 4 août. Une femme blonde toute de noir vêtue s’est approchée d’elle par derrière et lui a tiré dans la nuque. La mère de Delia Johnson a reconnu celle qui a tuée sa fille.

Dans la vidéo, on voit Delia Johnson qui s’effondre devant des témoins horrifiés. dans le même temps, le tueur se dirige calmement vers une voiture blanche garée. Elle s’assoie sur le siège du conducteur et s’en va.

Delia Johnson (la victime) - Claudia Williams

L’amie de la famille tue l’aînée d’une fratrie

Il a fallu trois mois à la police de Jacksonville pour la retrouver.

Delia Berry, la mère de Delia Johnson a déclaré qu’elle connaissaient l’assassin. Claudia Williams était une amie de la famille. « Je la connais. Oh mon Dieu, oh mon Dieu, elle avait l’habitude de rester avec nous. Elle dormait dans mon lit, mangeait ma nourriture. Elle était aussi l’une de mes protégées ».

A gauche, Berry Johnson, la mère de la victime

L’une des sœurs cadettes de la victime, Hadjah Pendley, qualifie la présumée coupable d’une « amie de la famille qui venait à nos événements familiaux, célébrations, vacances … ».

Selon la mère de la défunte, la victime est tombée dans un guet-apens. Une jeune fille de 17 ans l’aurait piégée par un appel téléphonique. Mathis Johnson, le frère de Delia Johnson, a déclaré au New York Daily que sa sœur avait assisté aux funérailles d’un ami plus tôt dans la journée.

Elle était une mère-célibataire. Une entrepreneure qui élevait seule sa fille de 17 ans.

Dorothée Audibert-Champenois – Facebook Blacknews Page – Images MailOnline

Le mystère sur l’identité de «Baby Jane Doe», morte il y a 10 ans

Depuis dix ans, les habitants d’Opelika veulent savoir qui est la vraie « Baby Jane Doe ». L’enfant d’à peine 7 ans, a été abusée et éborgnée. Son crâne sera découvert un jour de janvier 2012. Dans cette petite ville des Etats-Unis, l’affaire n’est toujours pas résolue. Est-ce un ou des tueurs qui ont agressés mortellement l’enfant et qui sont-ils?

Le mystère de « Baby Jane Doe »

La police de la ville d’Opelika a publié cette semaine des nouvelles photos de la petite victime noire-américaine. Dajhea Jones qui produit des contenus numériques pour la chaîne WTVM a publié les récentes images. Le cas de l’enfant nommée « Opelika Baby Jane Doe » est un vrai mystère. The National Center for Missing & Exploited Children espère faire un pas de géant.

De nouveaux portraits

Deux nouveaux portraits de la petite fille retrouvée morte en Alabama en janvier 2012 ont été réalisées par ordinateur. Elles viennent d’être dévoilées au public.

« C’est le cas le plus odieux (…) où une enfant a été maltraitée et négligée puis abandonnée. C’est très émouvant pour nous tous, détectives » a déclaré Jonathan Clifton, le chef de la police d’Opelika. «Elle a été gravement maltraitée et a vécu une vie difficile, il n’y a rien de juste dans ce qu’elle a dû traverser. Nous espérons que nous pourrons lui rendre un peu justice si nous pouvons découvrir son nom » a poursuivi l’homme de loi.

L’enfant victime de violences physiques répétées

L’affaire « Opelika Baby Jane Doe » prend naissance en janvier 2012 lorsqu’un petit crâne est trouvé derrière une maison mobile près de Hurst Street à Opelika. Des tests médico-légaux révèlent que la petite Jane Doe a subi très longtemps des violences physiques. Alors qu’elle avait trois ou sept ans, elle était battue régulièrement et éborgnée. Une évaluation anthropologique des os de Baby Jane Doe a révélé qu’elle avait été abusée et mal nourrie avant sa mort.

Pour tenter de mettre un nom sur la petite inconnue, des portraits robots ont guidé les enquêteurs vers une petite fille qui serait Baby Jane Doe. Elle viendrait de l’école au sein de l’église baptiste de la grande paix d’Opelika. Une photo qui date de 2011. Même si la police pense que Jane Doe serait la petite fille de la photo, rien ne les relie formellement. Les autorités sont convaincus qu’une personne de la communauté d’Opelika sait de qui il s’agit.

Les enquêteurs offrent une prime pour identifier l’enfant

Sur des pages dédiées, des internautes commentent et collectent des renseignements sur«Opelika Baby Jane Doe».

Le bureau du gouverneur de l’Alabama et du bureau du procureur du comté de Lee offre une prime pour toutes informations qui aideraient l’enquête. Avec 20 000 dollars de récompense, un numéro d’appels à témoins et de nouvelles images, peut-être qu’« Opelika Baby Jane Doe » pourra enfin se reposer en paix.

Dorothée Audibert-Champenois – Facebook Blacknews Page – Image Facebook – The National Center for Missing & Exploited Children – Unidentified  And Missing People

 

La police traîne un paraplégique au sol, tirant ses locks

Après une longue altercation entre un paraplégique et des policiers, une nouvelle affaire de violence policière aux USA anime les réseaux sociaux. Des images de caméras corporelles montrent des policiers de l’Ohio tirant un homme paraplégique de sa voiture par les cheveux et le jetant au sol.

Selon l‘Independent, Clifford Owensby, un Noir handicapé, conduisait à Dayton dans l’Ohio, le 30 septembre lorsque la police l’a arrêté. Alors que les policeirs le somme de sortir de son véhicule, l’homme répond : «Je ne peux pas sortir de la voiture, monsieur. Je suis paraplégique».

L’homme paraplégique montre son handicap

Les policiers insistent. pris de panique, l’afro-américain appelle à l’aide et demande à un tiers « d’amener du monde avec des caméras » pour assister à l’arrestation. Seulement, les agents veulent qu’il coopére. Mais pour Clifford Owensby, rien ne justifie cette intervention. Rapidement, dans la vidéo, on observe des policiers le saisissant par le bras avant de le tirer par les cheveux hors du véhicule. Alors qu’il chute au sol, Clifford Owensby crie de douleur. « À l’aide, quelqu’un venez m’aider » répète deux fois l’homme paraplégique.

Un des policiers l’accuse d’agraver la situation et le menotte. La vidéo se termine sur des images de Clifford Owensby traîné dans la rue. Un des trois policiers lançant une chaussure dans le véhicule de l’homme appréhendé.

Dorothée Audibert-Champenois – Facebook Blacknews Page – Images capture de vidéo

 

Une maman récidiviste étrangle et noie ses deux enfants

Récemment dans un podcast, Pendant le confinement Covid-19, la maman enregistrait une scène glaçante. Dans « BmoreE Charming » elle disait comment ses enfants la rendaient folle, même si elle les aime, ajoutait-elle. Une petite voix lui répondait dans la vidéo : « je t’aime aussi.»

Ce double infanticide aurait-il pu être évité en ce mois d’août ? Jamerria Hall, la mère meurtrière n’était inconnue ni de la justice ni des services sociaux. Quant au père, totalement invisible, il a sans aucun doute imprudemment contribué à la descente aux enfers de la jeune femme de 28 ans. Les deux enfants de 6 et 8 ans, confiés à leur mère sont morts dans une grande indifférence. C’est ce que révèlent les premiers éléments connus de la police de Baltimore qui ouvre une enquête sur l’assassinat du petit David et de sa soeur Da’Naria. Leur mère est incarcérée. Elle a avoué son crime.

Dans le Sud-ouest de Baltimore

Les faits se déroulent dans un appartement de Baltimore. Située dans le Maryland, Baltimore est une des principales villes de l’Etat . Si cette ville portuaire au Nord-est des Etats-Unis abrite de grandes universités du pays, la crise économique qui s’est installée depuis 1960 a entrainé une paupérisation de nombreux quartiers. Jamerria Hall, auteure de cette effroyable tragédie, habite dans le Sud-ouest de la ville.

Alors que cette mère de famille a été condamnée par la justice en 2018, c’est à elle que les juges confieront Davin Thomas et Da’Neria Thomas. Pour cause, leur père ne s’est pas présenté à une audience décisive. Et pourtant tout laisse penser que la mère de famille semble dangereuse pour ses petits. Elle aurait déjà montré un comportement délictueux. Jamerria Hall a purgé une peine de prison suite à plusieurs accusations graves. Tout d’abord pour incendie criminel au premier degré et mise en danger de la vie de ses enfants. L’accusée aurait désactivé les détecteurs de fumée chez ses parents, mis le feu à des photos de famille en présence de Davin et de Da’Neria. Portée disparue, on la retrouvera dans un hôpital local.

L’horrible meurtre en huis clos

Le 19 août 2021, des voisins entendent des hurlements d’enfants venant de l’appartement familial. Cette même nuit, des cris sont entendus et quelqu’un a crié : « Maman, non ! » rapporte un voisin. Cinq jours plus tard. Mardi 24 août, la police est appelée à Coventry Manor Apartments. Un préposé à l’entretien signale que « quelque chose sent mauvais ».

La police découvre deux scènes macabres

Lorsque les agents arrivent sur place, ils découvrent les corps des deux enfants en décomposition.

Selon les documents d’inculpation, Da’neria, six ans a été retrouvée « allongée face vers le haut dans la baignoire. Un objet vestimentaire apparent était enroulé autour de son cou ».

Le cadavre de son grand frère, Davin Thomas, huit ans, se trouvait dans un sac de couchage. « Quand le médecin légiste l’a retourné, un grand couteau se trouvait dans le côté droit de sa poitrine. Un sac poubelle était autour de son visage et de son cou. »

La mère de famille est arrêtée mercredi 25 août

«Nos détectives ont travaillé très dur pour la localiser et une fois qu’elle a été localisée, elle a été interrogée. Les détectives ont fait un travail formidable et ont pu obtenir une confession. Elle reconnaît être responsable de la mort de ses deux enfants », a déclaré le commissaire Harrison.

Un juge a ordonné que Jamerria Hall soit détenue sans caution en attendant les prochaines étapes de son affaire. Elle a été inculpée de deux chefs de meurtre au premier degré.

Dorothée Audibert-Champenois – Facebook Blacknews Page – Images Twitter et CBS Baltimore – Capture d’écran